Récupérez le Pouvoir de votre IA ! (1)
Le super pouvoir pour littéralement créer votre vie. (À ne manquer sous aucun prétexte !)
Édito
Hey mes amis ! 👋
J’espère que vous vous portez bien depuis la dernière édition de cette newsletter. Je dois dire que la présente a mis plus de temps que prévu à voir le jour. Non que l’inspiration n’était pas là, bien au contraire, mais l’été arrivant, j’ai été vraiment très occupé et n’ai pu y consacrer le temps nécessaire pour traiter comme je le souhaitais ce sujet si central pour notre épanouissement et notre croissance personnel.
J’ai en effet été très pris sur de nombreux fronts (la liste n’est pas exhaustive !) :
Sortir une nouvelle version de la géniale application Creadoc for School !
Terminer ma formation d’enseignant Prime Light Meditation Teacher (En savoir plus ici !) auprès de celui que je considère comme un de mes mentors, le génialissime Jesse Elder
Créer du contenu pour mes réseaux sociaux (sur lesquels je réduis drastiquement ma présence afin de me consacrer encore d’avantage à vous ! 😉 )
Suivre trois fois par semaine les webinaires du formidable groupe RELife Gatherings (et faire les devoirs demandés!) également animés par Jesse !
Préparer et enregistrer de nouveaux épisodes pour mon Podcast
Continuer mon entraînement quotidien en Karate et Yoga, et y adjoindre Surf, Skate et Grimpe !
Préparer et animer des séances de Méditation et d’arts martiaux
Écrire la présente édition de ma newsletter (et préparer les suivantes !)
Et bien entendu (et prioritairement !) passer du temps de qualité avec mon fils et ma chérie! ❤️
Tout ça pour dire que l’écriture de cet épisode si important s’est étalé sur près de deux mois, et bien que je souhaitais vous livrer ma conception de cet axe central assez vite, j’ai tout de même pris mon temps pour être sûr de faire le tour de la question et d’être en mesure de vous donner quelque chose qui puisse vraiment faire la différence dans votre vie.
Cet article, une nouvelle fois très dense, sera scindé en deux trois éditions qui se suivront dans le temps (temps de lecture de cette 1ère partie environ 25mn). Il a pour vocation d’être comme un rappel pour vous, un fondamental vers lequel vous pourrez - et devez - revenir lorsque vous vous sentez un peu “à côté” de votre vie.
Nous allons donc nous attaquer aujourd’hui au cœur de votre super pouvoir pour créer votre vie : votre IA !
Vous vous en doutez, dans cette newsletter où il n’est toujours question que de choses conçues par l’humain, notre sujet du jour n’est pas de faire une quelconque éloge de la soi-disant Intelligence Artificielle (qui n’a d’intelligence que le nom et se trouve être plutôt une masse colossale de données et statistiques), mais de comprendre et apprendre à utiliser consciemment les deux éléments qui créent - en permanence - votre vie :
L’Intention et l’Attention.
Car c’est grâce à ces deux facultés que vous façonnez à chaque instant votre vie, et c’est donc en récupérant le pouvoir conscient sur elles que vous allez être en capacité de :
Résoudre tous vos problèmes
Vous libérez du stress et de la fatigue chronique
Menez à bien vos projets et entreprises
Obtenir les résultats que vous désirez dans tous les domaines
Vous libérer des traumas passés
Développer vos compétences et libérer votre potentiel
Augmenter votre liberté individuelle
Vivre en adéquation réelle avec vos valeurs et aspirations
Pour finalement devenir la personnes que vous souhaitez vraiment être (et que vous êtes ici pour être !) et créer la vie que vous désirez vivre. ✨🚀
Dans cette édition, faisant suite aux précédentes - qui en constituent en quelques sortes le pré-travail - nous entrons dans le vif du sujet et abordons LA chose la plus importante et à absolument intégrer dès lors où vous souhaitez vous pencher sur votre croissance personnelle et reprendre le contrôle de votre vie : La Création en Conscience.
Au sommaire de cette 1ère partie :
Comment j’ai compris l’incroyable pouvoir de l’Intention
Une histoire personnelle qui conduit à une leçon de vieVotre Attention
Le plus beau cadeau que vous puissiez (vous) faireVous créez en permanence votre Réalité ! (Abonnés payants)
Personne n’influence votre vie plus que vous le faites !Le Bonheur c’est maintenant ! (Abonnés payants)
N’attendez jamais demain pour être heureux !
Comment j’ai compris l’incroyable pouvoir de l’Intention
Pour commencer, j’ai une petite histoire pour vous aujourd’hui.
Comme vous le savez peut-être, j’ai consacré ma vie à la pratique des arts martiaux et en particulier du Karate-do. Pas celui que vous voyez parfois à la télé, mais celui plus confidentiel, pratiqué et enseigné dans son acception traditionnelle, c’est-à-dire non comme un sport, mais comme une science du combat redoutable, véritable art de vivre et méthode d’élévation personnelle.
C’est notamment grâce à l’influence de Bruce Lee et de Jean-Claude Van Damme que j’ai, lors de mon adolescence, voulu m’engager sur le chemin des arts martiaux. Fasciné par la culture Japonaise et la relation maître-élève avec la fameuse image d’Épinal du vieux maître retiré à la montagne qui n’enseigne qu’à quelques “élus”, je me suis très vite engagé corps et âme dans l’étude du Karate.
Et je m’y suis vraiment consacré. Réellement.
Au point d’organiser toute ma vie pour me permettre de pratiquer chaque jour, de stopper mes études pour aller vivre et pratiquer durant une année en immersion au Japon et de choisir une voie professionnelle me laissant le plus de temps libre possible pour assouvir ma soif de progrès dans cet art.
J’ai eu la chance de parcourir le monde grâce à cette passion - ou devrais-je plutôt dire cette Vocation - et de rencontrer des personnes vraiment extraordinaires, et ce dans toutes les couches de la société, du bas au vraiment très haut - mais ça nous en reparlerons ultérieurement 😉. Mais de tous les pratiquants dont j’ai croisé le chemin dans les différents Dojo(s)* que j’ai côtoyés au travers du globe, je dois dire que j’ai toujours été le plus engagé.
Au point que certaines pointures internationales dans le domaine - c’est même arrivé au Japon - disait de moi que j’étais “fanatique”, voir “fou”. Venant de ces personnes, et sachant que c’est le seul chemin pour obtenir un réel niveau, et ce quelque soit le domaine, j’ai toujours pris cela comme un compliment.
J’avais donc un tel dévouement pour cette discipline, mon entraînement et mes instructeurs, qu’il ne se passait quasiment pas un jour sans que je me rende au Dojo. Je donnais tout mon temps, mon argent, ma vie personnelle et professionnelle à l’étude du Karate-do.
Et je dois dire aujourd’hui que ce profond et total engagement que j’avais alors a permis à certains instructeurs mal intentionnés - jamais au Japon - d’abuser de moi, de ma confiance et de ma sincérité. C’est également une autre histoire - dont je garde encore de nombreuses cicatrices aujourd’hui -, mais elle m’a permis d’apprendre beaucoup sur la vie et sur les hommes.
Bref, quoiqu’il pouvait arriver dans ma vie ou presque, j’étais donc présent tous les jours - dimanche, jours fériés et vacances comprises - au Dojo pour m’y entraîner et aider, matin et soir - voir entre les deux ! -.
Je m’entraînais donc plus que les autres. Beaucoup plus.
Mais étonnamment - et tristement -, ma progression n’était pas toujours à la hauteur de cet engagement. Et j’observais des personnes qui pratiquaient de manière plus décontractée, sans se mettre de pression et à un rythme bien moins soutenu que moi, progresser bien plus que je ne le faisais. Je rageais intérieurement, pourquoi ces personnes qui s’engageaient beaucoup moins et venaient s’entraîner uniquement “lorsqu’elles le pouvaient” progressaient-elles plus que moi ???
Pendant des années ma réponse - poussée parfois par mes instructeurs - a été de me consacrer encore plus, de m’entraîner plus fort, plus dur, plus longtemps… Ce qui conduisaient inévitablement à une immense fatigue physique, mentale et émotionnelle, ainsi qu’à une déconnexion de la raison profonde de mon engagement sur cette voie. Mais ma capacité de résilience - liée à la pureté de cet engagement - était telle que je continuais à me pousser plus durement, encore et encore, malgré une courbe de progression stagnante, voire descendante (on ne stagne en fait jamais vraiment).
Et de mois en mois, d’années en années, j’ai persévéré, suivant ces injonctions si présentes aujourd’hui dans la Culture du Travail valorisée par nos sociétés :
“Never give up !”
“Keep going !”
“Il faut travailler plus pour obtenir plus !”
“Seul le travail acharné produit des résultats !”
“Il faut souffrir pour obtenir ce que l’on veut !”
“Souffre maintenant et tu seras récompensé plus tard !”
”Il n’y a pas de raccourci, il faut savoir endurer pour obtenir quelque chose !”
Cela a duré 10 ans… Jusqu’au jour où j’ai eu un déclic.
Et celui-ci est venu du fait que j’avais - enfin ! - atteint ma limite, un point de rupture duquel je ne pouvais revenir en arrière.
J’avais deux choix : Abandonner ou Changer.
Abandonner était impossible, cela aurait été pire que tout, un échec total, la perte du sens de ma vie. Et je dois dire que cette éventualité ne m’a même jamais effleurée.
En fait, il m’a fallu toutes ces années pour comprendre que le problème - et la solution ! - étaient en fait en moi - Oui, je suis particulièrement lent ! 😉.
Les mots de mon instructeur au Japon, Pemba Tamang, résonnaient dans ma tête, et il m’avait finalement fallut tout ce temps pour les comprendre, et surtout les accepter.
Ce qui compte le plus pour la progression n’est pas l’intensité de l’entraînement auquel tu t’astreins, mais le cœur que tu y mets. La pratique est bien entendu fondamentale, mais aussi dure soit-elle, sans y mettre un réel sens elle sera inefficace, voire contre productive. Et la chose la plus importante sur ton chemin est que tu sois heureux avec ton Karate.
Lorsque je l’avais rencontré pour la première fois au Japon, il m’avait fait part de sa façon de faire : il mettait tout d’abord toute son énergie pour trouver un bon équilibre dans sa vie, financier, temporel, psychologique et émotionnel, quitte à diminuer son régime d’entraînement à 2-3 séances par semaine. Et lorsque c’était fait, il revenait quotidiennement au Dojo, motivé “à bloc”, disponible, enthousiaste, avec l’esprit clair, et se consacrait entièrement à son entraînement pendant de longues périodes, pratiquant alors plusieurs fois quotidiennement.
Pour moi c’était impossible, je ne comprenais pas, et que les choses aillent bien dans ma vie ou que je n’ai pas les moyens de me payer 3 repas par jour, je conservais le même régime intense d’entraînement. C’était ma façon, l’éducation que l’on m’avait donné dans les arts martiaux.
On parle bien d’arts “Martiaux”, tu dois être un guerrier !
Mais voilà, le réel est toujours là pour nous rappeler à l’ordre et nous faire part du degré d’efficacité de ce que nous entreprenons. Et dans mon cas, la méthode que l’on m’avait transmise et que je pratiquais jusqu’ici ne fonctionnait simplement pas, alors que celle de mon maître l’avait conduit sur le toit du monde en Karate (En plus de faire parti des rares élus à être sortis de l’infernale école des cadres de la JKA* de la grande époque*, il a été jusqu’à remporter un championnat du monde !).
Et ce fameux déclic est finalement arrivé presque sans prévenir, et il est venu d’une simple question qui m’est tombée dessus alors que je repensais à l’enseignement de mon maître :
“Pourquoi est-ce que j’exécute ce Tsuki* ? Quelle est la raison qui sous-tend l’exécution de ce geste ?”
Il m’est alors apparu clairement que jusqu’alors, je faisais les choses, répétais ces mouvements, un peu par automatisme, sans être vraiment présent à ce que je faisais, juste parce que cela faisait partie de l’entraînement, et finalement, sans véritablement y mettre consciemment de Sens.
Et en espérant - et y croyant sincèrement - que comme par miracle, par le simple fait de répéter ces techniques “physiques”, mon niveau en combat allait s’améliorer.
Mais c’était une illusion, une fausse promesse, et je venais de le comprendre jusque dans ma chair.
À partir de cet instant, j’ai immédiatement et définitivement cessé d’opérer comme cela, j’ai cessé d’en quelques sortes subir ce que je faisais pour en devenir réellement acteur.
Et je dois dire que le changement a été radical.
Tout d’abord, j’ai pris les choses avec beaucoup plus de légèreté et de philosophie, riant de moi-même lorsque j’en “bavais” à l’entraînement au lieu de toujours essayer de faire bonne figure, de me convaincre que je ne souffrais pas - et ne devais pas souffrir. Je m’autorisais à ne pas y arriver du premier coup, à échouer.
Et cela a ajouté du fun dans ma pratique qui est devenue, si ça n’est ludique, beaucoup plus amusante et rafraichissante !
Mais dorénavant, j’essayais vraiment d’y arriver, je mettais toute mon Énergie, tout mon Focus dans ce geste ou cet enchainement que je me donnais comme objectif de maîtriser, et en y mettant du Sens, de l’Intention, en visualisant réellement - jusqu’à le ressentir émotionnellement - son rôle et son but.
Et devinez quoi ?
En résultat, mes progrès ont - pour la première fois de ma vie - étaient fulgurants, mon Karate a totalement changé et devenait réellement mien. Pas une pâle copie de celui d’un des maîtres que j’admirais, mais le mien, avec ma touche personnelle, ma compréhension, mon interprétation, ma sensibilité, ma couleur.
Et en conséquence de cela, mon niveau technique s’est quant à lui grandement amélioré, mon niveau d’exécution se rapprochant - sans avoir dorénavant cela comme but principal - de celui de ces maîtres et champions que j’admirais. (Toutes proportions gardées bien sûr ! 😉)
J’étais finalement maintenant à la recherches des sensations que me procurait l’exécution de mes techniques avec l’intention et les principes que je m’attachais à y mettre, plutôt qu’à la recherche d’une gestuelle formelle, photogénique et vide de sens.
En un instant, je venais de prendre un tout autre chemin, et mon Karate avait changé pour toujours.
L’Intention - que je peux indifféremment appelé le Sens - a donc été la source du plus grand changement de paradigme dans ma vie.
Il me fallait comprendre comment cela fonctionnait, qu’est-ce qu’il y avait derrière cette puissance de mon intention.
Une fois que j’ai découvert cette capacité qu’elle avait à transformer les résultats dans ma pratique, je me suis dit que logiquement, cela pouvait aussi s’appliquer dans les autres secteurs de ma vie. Alors, je me suis attaché à comprendre ce pouvoir de l’intention, ce qu’il y a derrière, et comment elle fonctionne. Pour cela j’ai étudié, lu, suivi des formations ainsi que des programmes de coaching.
J’ai donc commencé à en comprendre les mécanismes, à faire des liens avec des concepts et pratiques que l’on trouve dans les arts martiaux, le Yoga et les philosophies orientales. Mon but était d’expérimenter ce que cette compréhension pouvait changer dans ma vie, mais aussi d’être en capacité de la transmettre aisément aux personnes à qui j’enseignais, afin que contrairement à moi cela ne leur prenne pas près de 15 années pour réaliser ce grand pouvoir qu’ils ont entre leurs mains !
En résultat de cela, et outre le fait que je me sentais vraiment bien, équilibré, confiant et heureux - des choses difficilement quantifiables -, cela a eu notamment pour conséquences dans ma vie :
L’élévation significative de mes compétences en Karate
La mise en place d’un meilleur rythme et de bonnes habitudes de vie
L’amélioration de ma santé et de mon niveau d’énergie
Je suis devenu plus compréhensif, positif et enthousiaste
Le renforcement des liens avec mes maîtres et amis au Japon et la possibilité de m’y rendre régulièrement pour étudier
J’ai su former d’excellents Karate-ka qui se sont illustrés en compétitions internationales
Le changement à 180° de mon orientation professionnelle qui m’a permis de quitter le monde universitaire et de l’éducation pour devenir entrepreneur
La création d’un quotidien dans lequel j’ai du temps pour moi, pour étudier et progresser, m’occuper de mes élèves et de mes proches, tout en obtenant une grande aisance financière
L’élévation de mes standards et le succès à ne donner mon temps et mon énergie qu’à des gens qui comptent pour moi et qui m’influencent positivement
L’obtention de relations inspirantes et la possibilité de passer plus de temps de qualité avec mes proches
La conquête de la liberté de faire toujours ce qui m’appelle et lorsque cela m’appelle
La construction de ma vie avec la femme de mes rêves.
Si vous voulez savoir comment j’étais avant, rien de plus simple : prenez l’opposé de la plupart de ces affirmations et vous aurez mon portrait !
Plutôt intéressant comme transformation, non ?
Ce sont donc les clefs qui m’ont permis d’obtenir ces résultats que je vais vous livrer ici !
Mais avant de décrypter en détail les mécanismes qui donnent une telle puissance à l’intention, il nous faut aller plus en profondeur et voir ce qu’il y a derrière cette intention, ce qui en constitue la matrice et qui est en fait le véritable conteneur de ce pouvoir de création que vous avez sur votre vie, j’ai nommé l’ATTENTION.
Votre Attention
Quelle est la ressource la plus importante dans l’univers ?
Généralement, et si vous êtes plus éveillé que la moyenne, vous allez me répondre le Temps.
Si c’est le cas, bravo, cela veut dire que vous avez conscience de la valeur de la vie, du côté éphémère de chaque chose et de chaque instant et sans doute de l’importance de ne pas “gaspiller” son temps, la durée de notre voyage sur terre étant limitée.
Le temps est en effet une ressource fondamentale, mais qui selon moi ne porte aucune valeur en elle-même. Le temps revêt la valeur de la qualité des instants que vous y vivez, c’est en fait un conteneur vide que vous choisissez de remplir comme vous le souhaitez.
“Ichi go ichi e”
- Chaque moment ne peut être vécu qu’une fois -
(Maxime très utilisée dans le monde des Budō - Voies guerrières du Japon)
Et c’est précisément là que réside votre Pouvoir. En votre capacité à toujours être à même de choisir la manière dont vous entrez dans chaque instant - votre Intention -, et à pouvoir les façonner de manière à ce qu’ils soient la réflexion parfaite de votre vision profonde.
Et cela se fait grâce à la ressource qui je le pense est celle qui a le plus de valeur dans l’univers et qui va, de manière exacte et parfaite, donner la saveur de chaque instant que vous vivez - et façonner les suivants : votre Attention.
Car vous expérimentez en permanence les conséquences de la où vous avez porté votre attention par le passé, qu’il soit proche ou lointain, et vous vivez votre maintenant en recevant les conséquences directes - et en préparant les conséquences futures - de là où vous choisissez de porter votre attention.
Car à chaque instant vous choisissez :
Soit de porter votre attention sur des choses qui ne vous sont pas utiles, qui vous parasitent, ne vous apportent rien de bon, ne vous stimulent pas positivement, vous prennent de l’énergie et sont finalement négatives aux yeux des résultats que vous souhaitez obtenir dans la vie.
Soit de retirer votre attention de ces “trous noirs” et de la porter uniquement sur des choses qui vous énergisent, vous inspirent, vous ressemblent, vous font du bien, vous sont utiles, sont alignées avec ce que vous êtes vraiment et désirez, et vous permettent de faire un pas de plus vers la vie de vos rêves.
Le choix est simple et binaire, il n’y a pas de nuance, pas de gris, c’est blanc ou noir. Soit vous portez votre attention sur des “trous noirs”, soit vous portez votre attention sur des “batteries”.
Tout ce sur quoi vous vous attardez finit par s’attarder sur vous.
La mécanique est implacable et simple - trop simple ? - et tout ce sur quoi vous portez votre attention va, par un effet de combustion comparable à celui d’une lentille qui se focalise sur un objet, se développer dans votre vie. Votre attention agit comme un aimant qui vous amène toujours plus de ce sur quoi vous vous focalisez. Et c’est pour cela que tout ce sur quoi vous vous attardez finit par s’attarder sur vous.
Vous Créez en permanence Votre Réalité
Et pour bien intégrer cela, il est important de comprendre que
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